Gà Kho Gừng Uyen Thy / Top 7 # Xem Nhiều Nhất & Mới Nhất 6/2023 # Top View | Raffles-design.edu.vn

Gà Kho Gừng Và Mật Ong

Ngày này năm ấy đang ở xa nhà, với những bữa cơm một mình nhưng vẫn phải nấu thiệt thịnh soạn thiệt ngon. Mùa thu đông mình hay làm gà kho gừng, thịt gà mềm dễ ăn và vị gừng ấm áp. Mùa lạnh rau xanh thì mắc nhưng bắp cải hay cải thảo rất rẻ, có những loại bắp cả to bằng mặt mình (đúng nghĩa đen) nhưng chỉ 100Y, mỗi tội mua về nhiều quá chả biết làm gì cho hết nên thường mình chỉ mua loại nhỏ. Luộc thật ít nước với gừng, chấm nước mắm trứng, cuối cùng uống nước luộc rau thì chẳng còn sợ cái lạnh ngoài phố nữa. 

Mình luôn thích những bữa cơm nhà, thích mỗi ngày đi chợ thấy đồ an thật ngon rồi lại nghĩ mua về làm được món gì. Có hôm thử món mới xem trong sách, có hôm thì lại thèm mấy món đơn giản như trứng chiên cà ở nhà. Mình thuộc dạng dễ ăn, nhưng cũng hay thèm mấy món độc. Hồi đó thèm bánh bột lọc sống chết mà không có lá chuối nên đành chịu.

Mình kho gà không xương nhưng vẫn còn da, kho với tỏi khô xắt lát và gừng xắt sợi. Nước mắm phải dùng thiệt keo kiệt vì sợ hết, nhưng nhờ mỡ gà ra mà được nước chan cơm ngon tuyệt vời XD Ăn gà hao lắm vì mình siêu thích thịt gà T-T Dùng mật ong thay đường, một phần khi ướp sẽ đỡ bớt mùi tanh của mỡ gà, vị cũng đỡ ngọt hơn. Tráng miệng là quà của mùa thu, quả hồng giòn. Cực kì thích quả này nhưng rất ít khi tự mua về vì ngại gọt, gọt xong thế nào cũng có lớp nhựa dính ngoài tay. Ngày xưa lần đầu ăn quả hồng là có người gọt cho, ăn thể nào cũng thấy thật ngon.

Những bữa cơm mùa thu vẫn luôn ấm áp như vậy.

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Gà Kho Gừng (Poulet Au Gingembre)

En vietnamien, gà signifie poulet, kho signifie mijoté et gừng n’est autre que le gingembre.

Qu’est-ce que le kho ?

Au Vietnam, le terme kho est une technique de cuisson. Kho signifie littéralement mijoter, braiser ou encore souder.

Le kho indique un certain nombre de plats de la cuisine vietnamienne, caractérisés par une cuisson lente des ingrédients dans une sauce épaisse, légèrement sucrée, parfois de couleur rouge-brun, contenant du sucre caramélisé et de la sauce de poisson, la sauce nuoc mâm.

Le thịt bò kho (boeuf mijoté) est la variante la plus courante, un ragoût de boeuf avec des nouilles.

Le kho est donc principalement préparé avec des morceaux de bœuf, de poisson, de poulet ou de porc, mais des versions végétariennes sont également possibles. Le kho de poisson est appelé cá kho ou cá kho tộ, le terme tộ désigne le récipient en terre cuite dans lequel il est préparé. Le poisson chat est le poisson le plus utilisé pour cette recette, en particulier dans le sud du Vietnam. La version au porc s’appelle thịt lợn kho gừng ou thịt lợn với gừng.

Le kho est généralement cuit dans un pot en argile appelé nồi đất. Il est servi avec du riz blanc cuit à la vapeur ou grillé, ou avec une baguette française chaude.

La cuisine vietnamienne

La cuisine vietnamienne est riche d’au moins 500 plats traditionnels. Les Vietnamiens attachent une très grande importance à la préparation des aliments et à la composition des plats, en harmonisant les saveurs et les couleurs, en cohésion parfaite avec un de leurs proverbes les plus célèbres : “nous devons apprendre à manger avant d’apprendre à parler”.

La cuisine vietnamienne a été caractérisée par l’histoire du pays : Le régime chinois millénaire du nord du Vietnam jusqu’au IXe siècle, la colonisation française de 1860 à 1954 et la présence américaine de 1960 à 1975, avec des événements qui tourmentèrent et créèrent de nombreuses victimes, mais créèrent également une cuisine fantastique.

La cuisine typiquement vietnamienne est savoureuse, légère et saine. Elle est divisée en trois régions : nord, centre et sud. Le nord du Vietnam est la région la plus peuplée du pays où sont nés quelques-uns des plats les plus célèbres, tels que le plat national, la soupe aux nouilles appelée phở.

Dans le centre du Vietnam, la cuisine est plus épicée et un repas se compose souvent de plusieurs plats d’accompagnement.

Dans le sud du pays, la cuisine est largement influencée par les temps de la domination française.

La cuisine du nord a une influence chinoise et est décrite comme étant plus forte et plus salée, c’est-à-dire avec une utilisation plus abondante de sauce de poisson concentrée et de soja, alors que dans celle du sud, la noix de coco et le sucre sont des ingrédients courants.

Les ingrédients les plus importants de la cuisine vietnamienne sont le riz et les nouilles. En tant qu’arôme, on utilise abondamment la sauce de poisson, mais aussi le soja, le gingembre, la citronnelle, le piment, énormément des herbes fraîches, la pâte de crevettes, l’anis étoilé, les clous de girofle, les feuilles de lime, l’oignon et l’ail.

Sur les côtes, les poissons et les fruits de mer sont les plus consommés. À l’intérieur du pays, on préfère les plats à base de viande composés notamment de bœuf et de volailles.

Le Vietnam est l’un des rares pays d’Asie où l’on rencontre du pain blanc ordinaire, héritage de l’époque où une colonie française vivait à l’époque indochinoise. Mais des pays tels que la Chine, l’ Inde et la Thaïlande ont également laissé leur empreinte sur les menus.

Le banh mi est un exemple remarquable de la cuisine autochtone. Il s’agit d’un sandwich composé de légumes croquants et de viande.

Outre les viandes de boeuf, de porc et de poulet cuites de très nombreuses façons, on y trouve également des viandes exotiques telles que le cobra, la chauve-souris, ou l’anguille.

Des écrits prouvent que les chinois et les Egyptiens élevaient de la volaille il y a 3 500 ans. Cependant, et sans aucune trace écrite mais de tradition orale, il se peut que cela ait été le cas en Inde, il y a plus de 5 000 ans. Le poulet a ensuite été introduit en Grèce par les Perses.

Il existe aujourd’hui 60 races et 175 variétés de poulets qui dérivent toutes du coq bankiva, originaire du Sud-Est asiatique où on le trouve encore aujourd’hui à l’état sauvage.

Le terme “poule” vient du latin palla, féminin de pallus qui veut dire “petit d’un animal”. Apparu dans la langue française au XIIIe siècle, il a remplacé “géline” (du latin gallina), terme qui, dans l’ancien français, désignait la poule.

Au XVIIe siècle, Henri IV, roi de France, disait de la célèbre poule au pot : “Je veux qu’il n’y ait si pauvre paysan en mon royaume qu’il n’ait tous les dimanches sa poule au pot”. Dans une casserole pleine d’eau, on mettait à mijoter une vieille poule pondeuse parvenue en fin de carrière, qu’il fallait laisser cuire une dizaine d’heures pour l’attendrir. On ajoutait quelques os à moelle et les légumes dont on disposait ce jour-là. On obtenait un bouillon d’une richesse insoupçonnée qu’on servait avec la viande et les légumes.

Au XVIIe siècle, le poulet a d’abord été domestiqué pour les combats de coqs plutôt que comme source de nourriture. Puis, ces combats ayant été légalement interdits au XVIIe siècle en Occident, on se prit de passion pour les expositions, où l’on venait montrer les spécimens d’espèces exotiques qu’on avait fait venir du bout du monde ou qu’on avait croisées soi-même.

Il faudra attendre le XIXe siècle pour voir se mettre en place la production des poulets en série, et les années 1920 pour que s’établissent, d’abord en Grande-Bretagne, puis aux États-Unis, les poulaillers-usines. À cette époque, on n’élevait pas encore les poules spécifiquement pour leur chair, mais bien pour leurs oeufs. Lorsqu’elles n’étaient plus assez productives, on les abattait pour vendre leur chair. Toutefois, dès les années 1950, les élevages de poulets destinés au marché de la viande dépasseront largement en nombre ceux des poules pondeuses.

À la fin du XXe siècle, il se consommait en Occident plus de chair de poulet que de celle de tout autre animal, y compris le boeuf qui, jusque-là, avait toujours été le premier. C’est donc grâce au coq bankiva que nous mangeons aujourd’hui du poulet. Il est également appelé coq sauvage, ou coq doré, et c’est une espèce d’oiseau, d’où sont issues toutes les races de poules et de poulets domestiques du monde. Son nom scientifique est Gallus gallus.

Son histoire est très intéressante, car il est considéré comme le gallo bankiva comme l’ancêtre de tous les coqs et poulets modernes ; et au début, il n’était qu’un petit coq sauvage.

On suppose que c’est d’ Asie que le bankiva et ses tous premiers descendants, ont été emmenés sur le continent européen.

Il existe plusieurs sous-espèces de coq bankiva, qui ne vivent pas toutes au même endroit : – Gallus gallus bankiva, qui est né à Bali, à Java et à Sumatra – Gallus gallus gallus, au Cambodge et dans le sud du Vietnam – Gallus gallus jabouillei, dans le nord du Vietnam et le sud de la Chine – Gallus gallus murghi, dans le nord de l’ Inde – Gallus gallus spadiceus, en Birmanie, au nord du Laos, en Thaïlande et en Malaisie.

Pour préparer le gà kho gừng, le poulet peut être utilisé entier, ou découpé en morceaux, avec ou sans os, mais on utilise plus fréquemment les cuisses et hauts de cuisses qui sont une partie plus goûteuse et plus adaptée pour un plat mijoté. Les os donnent du goût à la sauce, la peau préserve le moelleux de la viande. Le morceau choisi, qui peut être même la poitrine, est vraiment selon le goût de chacun.

Gà Kho Gừng Theo Kiểu Miền Trung

Nguyên liệu làm món thịt gà kho gừng:

1. Thịt gà: 600g, bạn có thể sử dụng ½ con gà, hay lựa chọn những phần thịt bạn thích như thịt đùi, thịt cánh, thịt mình,… tuy nhiên nên chọn gà kiến hoặc gà tam

3. Tiêu sọ: 2 nhánh nhỏ;

4. Hành khô, tỏi: 50g;

5. Rau mùi: 50g;

6. Ớt sừng: 3 trái;

7. Gia vị: Hạt nêm, bột ngọt, ớt bột, tiêu bột, dầu ăn, nước mắm, rượu trắng.

Gà kho gừng theo kiểu miền Trung

Cách làm:

– Hành khô: Làm sạch, băm nhuyễn;

– Gừng tươi: Rửa sạch, cạo vỏ, ½ băm nhuyễn, ½ thái sợi vừa;

– Ớt sừng: Bỏ cuống, rửa sạch, thái lát;

– Tiêu sọ: Tách hạt, rửa sạch, giã nhỏ;

– Thịt gà: Rửa sạch với nước có pha một chút rượu trắng để thịt gà trắng, thơm ngon hơn, chặt gà thành từng miếng nhỏ vừa ăn rồi ướp thịt gà với ½ phần hành khô, gừng băm nhuyễn, tiêu sọ giã nhỏ, ½ phần ớt thái lát, 1,5 thìa nước mắm, 1,5 thìa hạt nêm, 1 thìa bột ngọt, 1 thìa tiêu bột, ½ thìa ớt bột, 1 thìa dầu ăn trong 1 tiếng cho thịt gà ngấm đều gia vị và thơm ngon hơn;

– Rau mùi: Nhặt và rửa sạch, để ráo.

– Phi thơm 2 thìa dầu ăn với phần hành băm nhuyễn còn lại và ½ thìa ớt bột để món thịt gà kho gừng có màu sắc hấp dẫn hơn, cho thịt cho thịt gà được săn đều;

– Cho phần gừng thái chỉ vào bên trên, rưới 1 chén nhỏ nước ấm vào xung quanh nồi thịt gà, đun sôi rồi vặn nhỏ lửa để kho thịt gà trong 20 phút, nêm nếm lại gia vị cho vừa ăn rồi tiếp tục đun nồi thịt gà kho gừng với lửa liu riu đến khi thấy nước kho vừa sít, món thịt gà kho gừng dậy mùi

– Sau khi thực hiện xong cách làm món thịt gà kho gừng các bạn bày món thịt gà kho gừng ra đĩa, rưới nước kho lên toàn bộ đĩa thịt, rắc lên bên bên một ít tiêu bột, phần ớt thái lát còn lại, rau mùi là bạn đã có thể thưởng thức hương vị thơm ngon, đậm đà của món ăn hấp dẫn này rồi ….

Gà Bản Bình Liêu Kho Gừng, Rượu

Trong những ngày thời tiết se lạnh, đến Bình Liêu còn gì thú vị hơn khi được thưởng thức món gà bản kho với gừng, rượu. Với vị thơm ngọt của gà, vị ấm nồng của gừng hòa quyện với rượu, chắc chắn sẽ khiến cho bạn không thể nào quên.

Món gà bản kho gừng, rượu trên mâm cơm của bà con các dân tộc huyện Bình Liêu.

Nguyên liệu chính để nấu món gà bản kho gừng, rượu bao gồm: Gà bản (1 con hoặc 1/2 con), 2 đến 3 nhánh gừng to, nửa lít rượu trắng, muối, mì chính, nước mắm, hạt tiêu. Để nấu được món này, đầu tiên cần chọn là gà bản. Đây là giống gà được nuôi nhiều ở Bình Liêu, có trọng lượng khoảng 1,3kg trở lên. Vốn là giống tốt ở địa phương, gà bản lại được nuôi chủ yếu bằng hình thức chăn thả tự do để gà tự kiếm ăn. Một phần thức ăn còn lại được cung cấp bằng thóc, gạo và phụ phẩm nông nghiệp. Chính vì thế gà bản thường chắc thịt, có hương vị thơm ngon.

Gà sau khi làm sạch lông nên dùng chút rượu trắng, muối hạt và gừng đập dập để xát lên toàn bộ thân con gà cho sạch và khử mùi hôi của gà. Sau khi sơ chế xong, tiến hành chặt gà thành miếng nhỏ vừa ăn, rồi đem ướp với 1 thìa nước mắm, 5 đến 8 quả hạt tiêu, 1/2 thìa mì chính, muối, đập dập thêm 2 đến 3 nhánh gừng. Sau khi trộn đều gà với gia vị thì đổ thêm nửa lít rượu trắng vào, để trong thời gian khoảng 15 phút.

Khi gia vị đã ngấm vào gà, ta tiến hành bắc nồi thịt gà lên bếp và đun đến khi sôi, vặn nhỏ lửa và đun tiếp trong khoảng 30 phút rồi tắt bếp. Lưu ý trong quá trình kho không nên để lửa quá to, gà sẽ bị khô, vị ngọt mềm trong gà cũng bị mất đi. Kho đến khi gà chín mềm, tỏa mùi thơm. Món gà kho gừng, rượu là món ăn được người dân Bình Liêu ưa thích bởi dễ chế biến mà đậm đà, ăn lúc nóng với cơm rất ngon và đậm vị. Đặc biệt, món gà bản kho gừng, rượu còn là món ăn rất tốt cho phụ nữ sau sinh, giúp làm ấm cơ thể, máu dễ lưu thông, cải thiện hệ tiêu hoá, phục hồi sức khỏe nhanh chóng.

Bà La Thị Hồng, một người dân bản địa cho hay: Món gà kho gừng, rượu được rất nhiều thế hệ trong gia đình bà ưa thích bởi dễ chế biến và đưa cơm. Gà kho gừng có vị hơi cay cay, thanh thanh, ấm nóng của gừng, rượu, vị ngọt, mềm, đậm đà của gà, vị thơm của tiêu với nước kho sánh quyện, miếng thịt gà thơm, nóng hổi khiến cả nhà ai cũng thích ăn.

Đến Bình Liêu trong những ngày đầu đông, ăn món gà bản kho gừng, rượu cùng với cơm trắng từ lúa nương mới gặt sẽ là một trải nghiệm ẩm thực khó quên đối với du khách.

La Lành (Trung tâm TT-VH Bình Liêu)